SANJU JHUGROO – L’AGRICULTEUR RESPONSABLE 2.0

SANJU JHUGROO – L’AGRICULTEUR RESPONSABLE 2.0

A 34 ans, Sanju Jhugroo est marié et il est derrière son père depuis un moment pour moderniser le business de ce dernier en l’informatisant entre autres. Il lui crée une société et se met à l’aider à mi-temps. Il entreprend de suivre les formations du projet Smart Agriculture ou du FAREI afin d’inscrire le business familial dans un futur plus durable. Son père est très réceptif aux nouvelles méthodeset aux idées qu’il lui apporte.

Sa vision : il est conscient de sa responsabilitédans les enjeux de santé public actuels.« Notre santédécoule de ce qu’on mange principalement ». Il voudrait au travers de sa profession, contribuer lui aussi à préserver la sante des personnes en produisant des légumes sains.

« Nous sommes un peu parents en tant que planteurs et nos enfants sont les consommateurs – nous devons être conscients de ce qu’on leur donne à manger».

Mr Jhugroo est croyant et sa spiritualité le porte à croire que chaque bonne action que nous faisons sur terre nous ramène de bonnes énergies. Il pense que c’est sa responsabilité sur terre.

Son objectif : faire une plantation « naturelle »et montrer que ce n’est pas au détriment du rendement. Il pense que le rendement sera moindre au début mais qu’à terme, en améliorant et en prenant soin de son sol, le rendement sera de nouveau au rendez-vous sinon plus. Il ne faut pas tuer sa poule aux œufs d’or.

Il voit le projet smart agriculture comme une opportunité. Il est fier d’être un des précurseurs et aime le coté collaboratif du projet : tous, petits et grands planteurs, autour d’une même table ou d’une même problématique terrain.

Le plus dur dans son métier: il a un terrain sans bail – il lui est donc difficile de se projeter et d’investir dans les tests pilote sur un terrain. Il y travaille et espère avoir un papier justifiant qu’il peut exploiter son terrain au moins 3 ans.

Il cultive de la salade, de la betterave, des tomates et des aromates (fines herbes) en rotation.

Ses difficultés : les ravageurs et les voleurs.

Distribution: il vend aux marchands et revendeurs (75%) et en direct au bazar de 4 bornes (25%). Il aimerait aller vers plus de vente directe.

Vision : il se demande comment faisaient les agricultures dans les temps anciens pour cultiver? « Nous avons inventé nos propres poisons pour plus de profits et de récoltes ».

Objectif : à terme, il aimerait bien avoir une ferme pour pouvoir produire de manière plus continue quelque soit les saisons.

Mr Sanju Jhugroo– l’agriculteur responsable 2.0

Mr Sanju Jhugroo

l’agriculteur responsable 2.0

A 34 ans, Sanju Jhugroo est marié et il est derrière son père depuis un moment pour moderniser le business de ce dernier en l’informatisant entre autres. Il lui crée une société et se met à l’aider à mi-temps. Il entreprend de suivre les formations du projet Smart Agriculture ou du FAREI afin d’inscrire le business familial dans un futur plus durable. Son père est très réceptif aux nouvelles méthodeset aux idées qu’il lui apporte.

Sa vision : il est conscient de sa responsabilitédans les enjeux de santé public actuels.« Notre santédécoule de ce qu’on mange principalement ». Il voudrait au travers de sa profession, contribuer lui aussi à préserver la sante des personnes en produisant des légumes sains.

« Nous sommes un peu parents en tant que planteurs et nos enfants sont les consommateurs – nous devons être conscients de ce qu’on leur donne à manger».

Mr Jhugroo est croyant et sa spiritualité le porte à croire que chaque bonne action que nous faisons sur terre nous ramène de bonnes énergies. Il pense que c’est sa responsabilité sur terre.

Son objectif : faire une plantation « naturelle »et montrer que ce n’est pas au détriment du rendement. Il pense que le rendement sera moindre au début mais qu’à terme, en améliorant et en prenant soin de son sol, le rendement sera de nouveau au rendez-vous sinon plus. Il ne faut pas tuer sa poule aux œufs d’or.

Il voit le projet smart agriculture comme une opportunité. Il est fier d’être un des précurseurs et aime le coté collaboratif du projet : tous, petits et grands planteurs, autour d’une même table ou d’une même problématique terrain.

Le plus dur dans son métier: il a un terrain sans bail – il lui est donc difficile de se projeter et d’investir dans les tests pilote sur un terrain. Il y travaille et espère avoir un papier justifiant qu’il peut exploiter son terrain au moins 3 ans.

Il cultive de la salade, de la betterave, des tomates et des aromates (fines herbes) en rotation.

Ses difficultés : les ravageurs et les voleurs.

Distribution: il vend aux marchands et revendeurs (75%) et en direct au bazar de 4 bornes (25%). Il aimerait aller vers plus de vente directe.

Vision : il se demande comment faisaient les agricultures dans les temps anciens pour cultiver? « Nous avons inventé nos propres poisons pour plus de profits et de récoltes ».

Objectif : à terme, il aimerait bien avoir une ferme pour pouvoir produire de manière plus continue quelque soit les saisons.

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